376 MA RAINEY La mère du blues par STEVEN JEZO-VANNIER – éditions Le Mot et le Reste
avec une "galerie de portraits", un appareil de notes et une bibliographie
Ceux qui s'imaginent que le jazz commence en 1950 ou avec le XXIe siècle et qu'il ne s'agit pas d'un art populaire feront bien de lire ce livre, qui commence au début du siècle avant dernier – moment où cette nouvelle forme de l'art musical se cristallise – par une étrange et décisive rencontre entre une comédienne-chanteuse de seize ans et une pauvresse inconnue – et qui le restera – porteuse d'une musique destinée à devenir planétaire.
C'est passablement compliqué de retracer dans le détail la biographie d'une artiste dont la période d'activité se situe aussi loin dans le temps, la méthode la plus sûre étant de la pister dans ses itinéraires au moyen de la presse de la communauté noire, très à l'affût de tout ce qui se signalait alors comme spectacles, tournées et potins divers. ....
Laurent VERDEAUX
Retrouvez la suite de cette chronique dans le Bulletin du hcf N° 710 — septembre-octobre 2023
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LE 25 CM Les plus belles pochettes des disques de Jazz des années 50 - Vol 1
par Alain Marquet Jazz Museum (2019) 32 pages - Photos couleur
À l'heure où le vinyle fait son retour dans les bacs des disquaires, voici une plaquette qui ravira les nostalgiques des pochettes illustrées des disques 25 cm. On la doit à Alain Marquet, clarinettiste et collectionneur de ce format apparu au début des années 50.
Sous une couverture dessinée par Michel Boss Queraud, près d'une centaine de ces pochettes sont reproduites avec soin classées par musiciens : Louis Armstrong, Duke Ellington, James P.Johnson, Jelly Roll Morton, Fletcher Henderson, King Oliver et Clarence Williams.
Comme le souligne Jean-Pierre Daubresse dans sa préface, certaines illustrations révèlent le talent original d'un grand nombre de dessinateurs, tels Pierre Merlin, Paul Bacon, Monty Sunshine, ou bien encore Michel David dont l'audacieuse composition, illustrant un disque du duo Ellington - Strayhorn, fait s'envoler les touches du clavier pour former les noms des deux pianistes (page 11). Ce volume premier fait espérer un deuxième opus pour continuer à raviver les souvenirs et prolonger le plaisir des yeux.
(Chronique parue dans le Bulletin du HCF 680 - Mai/Juin 2019). Alain Carbuccia | |
304 Prix du HCF 2009 FRANKIE MANNING, l'Ambassadeur du Lindy Hop par Frankie MANNING et Cynthia R. MILLMAN
(22 x 16 cm) - 368 pages. photos noir et blanc . Broché. En français. Rolland Éditeur, 2009 - ISBN 978-2-9526753-5-2.
Il s'agit de la traduction française (par Christian Rolland) de l'autobiographie du danseur Frankie Manning, parue aux États-Unis en 2007. Par rapport à l'édition américaine (voir la notice qui lui est consacrée), on notera l'ajout en bas de page de notes informatives, notamment sur les figures et le vocabulaire du lindy hop, ainsi que deux préfaces, l'une de Manning, l'autre de Cynthia R. Millman, concernant la pratique du lindy hop en France. Il faut saluer le travail de l'éditeur qui met à la disposition des lecteurs français un livre passionnant dont il serait dommage de ne pas percevoir l'importance documentaire et la richesse humaine. (chronique détaillée dans le Bulletin HCF 583, juillet-août 2009) | |
303 FRANKIE MANNING, Ambassador of Lindy Hop par Frankie MANNING et Cynthia R. MILLMAN 288 pages (24 x 16 cm).. 38 photos noir et blanc hors texte. Relié avec jaquette. En anglais. Temple University Press, (2007). ISBN 1-59213-563-3.
Le nom de Frankie Manning, certes peu connu du grand public, est indissolublement lié à l'histoire du Lindy hop, danse qui tire son appellation du saut (« hop ») qu'accomplit l'aviateur Charles Lindbergh (« Lindy » pour les intimes) au-dessus de l'Atlantique en 1927. Cette autobiographie fait pénétrer le lecteur au sein de la communauté des danseurs qui, dans les années 30 et 40, fréquentaient les grands dancings de Harlem, tels que l'Alhambra et le Savoy. Au sein des groupements comme les Whitey's Lindy Hoppers, puis les Four Congaroos, Manning devient vite une figure majeure du spectacle noir, d'où les engagements au Cotton Club et à l'Apollo, les films à Hollywood (Un jour aux courses et Hellzapoppin' entre autres) et les tournées en Europe et en Amérique du Sud. Après une interruption de près de trente années due à la désaffection du public pour le Lindy hop, le danseur retrouve, à l'aube des années 80, une activité professionnelle : il donne des cours, anime des séminaires et signe des chorégraphies (par exemple celle de la revue Black and Blue). Tout au long des cinq parties qui composent le récit, hommage est rendu, bien sûr, à la danse, mais également aux orchestres qui ont accompagné Frankie Manning tout au long de sa carrière, au premier rang desquels sont placés ceux de Count Basie et de Chick Webb. Pour sa part, Cynthia R. Millman a rédigé des notices (intégrées dans le cours des chapitres) qui précisent des points historiques et techniques, ainsi qu'un index des principaux danseurs fournissant sur chacun d'eux de précieux renseignements biographiques. Comme il se doit, notes et bibliographie complètent l'ouvrage, sans oublier la liste des documents filmés et de quelques sites internet consacrés au Lindy hop. « Au final, un livre passionnant [...], le récit d'une vie d'enthousiasme, récit toujours alerte, regorgeant d'anecdotes, rempli de bonne humeur, sans trace de morosité en dépit des inévitables aléas d'une carrière qu'on aura plaisir à découvrir... pas à pas. » . Alain CARBUCCIA
Chronique détaillée dans le Bulletin du HCF N°565, octobre 2007) | |
298 McKINNEY's MUSIC par John Chilton broché/agrafé - 450 x 210 - 68 pages - 22 photos 56 pages de biographie, 11 pages de discographie en Anglais - ISBN : Bloomsbury Book Shop (GB) 1978 -
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292 Marian McPartland - ALL IN GOOD TIME - En anglais - Oxford University Press, 1987- (145 x 215)– 174 pages - Quelques photos N&B Autobiographie de l'épouse de Jimmy McPartland, le célèbre cornettiste de l'Austin High School Gang de Chicago, qui remplaça Bix Beiderbecke au sein des Wolverines, disparu à 87 ans en 1991. De nationalité anglaise, née en 1920, issue d'une famille de musiciens, elle rencontre Jimmy en Belgique et l'épouse en 1945. Leonard Feather, le célèbre critique, compositeur et producteur de disques disait d'elle : "Elle a trois choses contre elle: elle est Anglaise, elle est blanche et c'est une femme". En dépit de ces obstacles, elle est devenue une figure proéminente dans le monde du jazz comme une des meilleures pianistes américaines de jazz et la productrice de la célèbre émission hebdomadaire ‘Piano-Jazz' de la National Public Radio. Ce livre est une sélection de ses meilleurs articles parus dans les magazines Down Beat et Esquire. Elle y fait le portrait de ses musiciens préférés, particulièrement celui de Mary Lou Williams qu'elle considère comme la plus grande compositeur et interprète de sa génération, et celui de Bill Evans qu'elle n'hésite pas à qualifier de véritable génie. D'autres musiciens avec qui elle a joué font chacun l'objet d'un chapitre entier : Joe Morello batteur du quartet Dave Brubeck (Take Five, Blue Rondo à la Turk) qui fera avec elle les beaux jours de l'Hickory House à New York pendant 3 ans; Paul Desmond, saxophoniste, autre partenaire du quartet Brubeck; Jake Hanna, autre batteur; Benny Goodman; Ron McClure et Eddie Gomez, contrebassistes; Dudley Moore, l'acteur de cinéma anglais et formidable pianiste à ses heures. Un des passages passionnants est sa brillante description historique de l'International Sweethearts of Rhythm, l'orchestre féminin des années 1930-40.
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293 LA RAGE DE VIVRE, par Milton Mezz Mezzrow et Bernard Wolfe Ces quelques citations ne peuvent qu'encourager l'amateur de jazz à lire ce livre. Le premier dans le genre, et certainement celui que tout jazzman se doit de lire. On peut ne pas aimer la façon de jouer de la clarinette de Mezzrow, mais ce témoignage de la vie qu'il a lui-même vécue, et décrit avec tant de rage, est poignant. Tout y passe : son enfance, son adolescence à Chicago, ses premiers contacts avec les musiciens de jazz, particulièrement Bix Beiderbecke et ses Wolverines de l'Austin High School dans la banlieue ouest de Chicago, la drogue dont il est consommateur et dépendant, sa cure de désintoxication, puis pourvoyeur officiel des autres musiciens et dont ce sera sa deuxième profession, ses rencontres avec les plus grands, Armstrong, Bechet, Ladnier, Singleton, et les autres. Puis, sa deuxième carrière à New York, où il devient producteur de disques et enregistre avec Bechet. 1938 sa rencontre avec Hugues Panassié, une solide amitié qui lia les deux hommes, et qui se concrétisa par l'enregistrement des disques Swing devenus anthologiques. | |
302 Florence Mills
Harlem Jazz Queen par Bill EGAN Scarecrow Press, 2004. ISBN 0-8108-5007-9. (23 x 15 cm). 328 pages, cahier central de 25 photos noir et blanc. Broché. En anglais. Une biographie à l'américaine, c'est-à-dire une exploration minutieuse de la vie et de la carrière de Florence Mills, la Black Beauty ellingtonienne. A partir d'une impressionnante documentation, Bill Egan a reconstitué le fulgurant parcours, au début du siècle dernier, d'une artiste complète (chanteuse, danseuse, actrice) du monde du spectacle, disparue en pleine gloire en novembre 1927, à l'âge de 31 ans. L'auteur livre ici, comme le souligne Jacques Canérot au terme de son analyse de l'ouvrage (Bulletin du HCF 548, décembre 2005), « une étude approfondie, qui soutient l'intérêt par la somme de témoignages recueillis sur une période où jazz et divertissement avaient partie liée, et sur une artiste exigeante dont le talent et le charisme méritent d'être préservés de l'oubli. » A.C. | |
301 Mr. JELLY LORD en anglais – by Laurie Wright Sans doute la meilleure et la plus complète des discographies des enregistrements de Jelly Roll Morton, donnant tous les renseignements discographiques, numéros de matrices, de prises, dates et lieux, personnels, etc. Nombreuses photos d'étiquettes de 78 tours, d'affiches, publicités, etc. | |
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Jelly Roll Morton Way Out West - Par Phil Pastras – en anglais- Cette nouvelle biographie de Jelly Roll Morton vient compléter celles d'Alan Lomax et Laurie Wright. Elle a l'avantage d'apporter quelques éclaircissements inédits sur la vie de Morton, et de reproduire des fac-similés des actes de décès de Jelly Roll, d'Anita Gonzales-Ford (sa bien-aimée), et de Laura Hunter (sa marraine), ainsi que le testament de Jelly Roll.
Alain Hautrive | |
299 “OH, MISTER JELLY” a Jelly Roll Morton Scrapbook - par William Russell - | |
297 Alan Lomax – MISTER JELLY ROLL – Traduction française de Henri Parisot – Flamarion 1964 –Broché ( 210x150) – 362 pages – 1 photo de JRM. Ce livre est la traduction française de l'ouvrage édité aux Etats –Unis en 1950 et à Londres en 1952 (présenté sur le site. Alan Lomax a eu l'ingénieuse idée de faire asseoir Jelly Roll Morton au piano devant une machine à enregistrer de la Librairie du Congrès à Washington, D.C. Il l'a fait parler de lui-même, jouer de sa musique et parler encore. Cette transcription est fascinante à lire, même pour ceux qui ne connaissent pas la musique de Jelly Roll. En fin de livre, il y a deux annexes principalement centrées sur les enregistrements et les compositions de JRM abondamment illustrées de partitions, certaines manuscrites de la propre main de JRM. Il y a du et de l'atmosphère à chaque moment de cette histoire d'aventures racontée par un artiste créole natif de la Nouvelle-Orléans au tournant du siècle dernier, et plus tard à Chicago, New York et Hollywood. Jelly Roll Morton jouait du piano à Storyville, le fameux quartier des prostituées de la Nouvelle-Orléans, quelques fois dans de sordides petits bordels, d'autres fois dans de grands manoirs luxurieux où coulait à flots le champagne parmi les orgies. La contribution originale d'Alan Lomax à cet autoportrait intrigant, consiste en trois intermèdes faits de commentaires et d'à-côtés qui corrigent gentiment les assertions et fantaisies outrageuses de JRM. Le dernier chapitre sur les derniers jours de JRM est des plus émouvants. Avec la mort de Mister Jelly Roll, on a l'impression qu'un morceau fascinant de la vie américaine a pris fin. | |
296 Thomas Cusak –JELLY ROLL MORTON –AN ESSAY IN DISCOGRAPHY - En anglais- Éd. Cassell & Co. Ltd. Londres 1952– (145 x 225) – 40 pages - Accompagnant le livre d'Allan Lomax ,Mister Jelly Roll : the Story of Ferdinand Morton , une discographie exhaustive de 40 pages par Thomas Cusack, donne tous les détails les plus pertinents pour le discophile le plus exigeant.
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295 Alan Lomax –MISTER JELLY ROLL - En anglais- Éd. Cassell & Co. Ltd. Londres - 1952– (145 x 225) – 296 pages - Aucune photo, mais des dessins par David Stone Martin. Alan Lomax a eu l'ingénieuse idée de faire asseoir Jelly Roll Morton au piano devant une machine à enregistrer de la Librairie du Congrès à Washington, D.C. Il l'a fait parler de lui-même, jouer de sa musique et parler encore. Cette transcription est fascinante à lire, même pour ceux qui ne connaissent pas la musique de Jelly Roll. En fin de livre, il y a deux annexes principalement centrées sur les enregistrements et les compositions de JRM abondamment illustrées de partitions, certaines manuscrites de la propre main de JRM. Il y a du et de l'atmosphère à chaque moment de cette histoire d'aventures racontée par un artiste créole natif de la Nouvelle-Orléans au tournant du siècle dernier, et plus tard à Chicago, New York et Hollywood. Jelly Roll Morton jouait du piano à Storyville, le fameux quartier des prostituées de la Nouvelle-Orléans, quelques fois dans de sordides petits bordels, d'autres fois dans de grands manoirs luxurieux où coulait à flots le champagne parmi les orgies. La contribution originale d'Alan Lomax à cet autoportrait intrigant, consiste en trois intermèdes faits de commentaires et d'à-côtés qui corrigent gentiment les assertions et fantaisies outrageuses de JRM. Le dernier chapitre sur les derniers jours de JRM est des plus émouvants. Avec la mort de Mister Jelly Roll, on a l'impression qu'un morceau fascinant de la vie américaine a pris fin. Accompagnant ce livre, une discographie exhaustive de 40 pages par Thomas Cusack, donnant tous les détails les plus pertinents pour le discophile le plus exigeant.
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Alan Lomax - Mister JELLY ROLL - The fortunes Jelly Roll MORTON – New-Orleans Creole and " inventor of Jazz " Illustrations de David Stone Martin en anglais – University of California press L A 1973 (1ère édition 1950) relié (20x13,5 cm) – 318 pages –ISBN 0520-02237-8 | |
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MI-FIGUE MI-RAISIN, suivi de EXEGESE D'UN THEOLOGIEN DU JAZZ de Pierre FARGETON 22 x 18 cm. 540 pages. 61 photos noir & blanc. ISBN 978-2-907891 Broché, en français Editions Outre Mesure, 2020.
Ouvrage en deux parties. La première donne à lire les 44 lettres adressées par Hugues Panassié à André Hodeir entre 1940 et 1948 (les lettres d'Hodeir à Panassié n'ont jamais été retrouvées), correspondance précédée d'une étude sur les circonstances de cette relation épistolière qui met en évidence la personnalité de « deux frères ennemis ».
La seconde partie (plus de 300 pages) propose « une analyse interprétative des écrits de Panassié, en partant d'un présupposé : les idées réactionnaires et le catholicisme intransigeant de Panassié ont conditionné sa vision « primitiviste » du peuple noir américain et, partant, sa conception de la musique de jazz. Il en ressort l'image, rarement flatteuse, d'un « fou » de jazz, certes, mais surtout d'un écrivain dénué des qualités qui, selon l'auteur, sont celles d'un véritable critique musical.
L'ouvrage est loin d'être un constant hommage (ce n'est d'ailleurs pas son but) à l'œuvre d'Hugues Panassié. Cependant l'impressionnante documentation convoquée permet de mieux cerner la pensée panassiéenne. Alain Carbuccia (Chronique détaillée dans le Bulletin du HCF 693, Novembre-Décembre 2020)
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27 Monsieur Jazz entretiens avec Pierre Casalta de Editions Stock (1975) - Broché . En français
Ce livre est le dernier ouvrage d'Hugues Panassié. Il a été édité un an après sa mort survenue le 8 décembre 1974. Ses amis musiciens l'appelaient affectueusement "Monsieur Jazz", surnom qui lui avait été donné par Duke Ellington. D'où le titre de ces libres propos recueillis au magnétophone par le journaliste Pierre Casalta au cours de l'été 1972. On s'est contenté de mettre en ordre ses derniers témoignages, en respectant leur forme et leur fraîcheur incomparable.Répondant aux questions de son interlocuteur, Hugues Panassié aborde un certain nombre de sujets hors jazz qui le passionnaient également. Ils éclairent encore mieux sa personnalité mais en 42 chapitres, la plupart de ses propos sont consacré s à la partie jazzistique de son existence et de son œuvre. On y trouve des portraits de musiciens comme Louis Armstrong, Willie the Lion Smith, Sidney Bechet, Django Reinhardt... d'un relief saisissant, ainsi que de nombreux points essentiels sur lesquels il apporte comme toujours, son opinion étayée et pertinente. | |
17 QUAND MEZZROW ENREGISTRE Panassié Sessions de Edition Robert Laffont (1952)- Broché. En français
Ce titre est en fait l'édition française de Histoire des Disques Swing publié par Grasset en 1944.
Dominique Brigaud | |
5 LA MUSIQUE DE JAZZ et le SWING.
Cet ouvrage mérite d'être présenté ici car il réunit, dans un style simple et clair, les clés qui facilitent l'accès à tous les aspects du JAZZ. Il donne une définition parfaite de tous les problèmes que pose aux néophytes l'approche de cette musique, comme aux amateurs confirmés qui souhaitent la leur faire apprécier. Sous forme d'un dialogue habilement mené entre un Profane et un Swingman il aborde les principaux aspects qui caractérisent la musique de Jazz d'origine américaine et la distinguent des formes musicales européennes. Les thèmes abordés sont: la primauté de l'interprétation, le swing, l'importance du " tempo ", le disque, support essentiel, les rapports avec la musique CLASSIQUE, le commercialisme et les dangers d'un affrontement partisan et sourd entre anciens et modernes… Cet ouvrage se termine par une sélection de musiciens et d'enregistrements qui illustrent la pensée de l'auteur.
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